Depuis 1993, les pesticides à base de chlordécone, utilisés pour combattre le charançon de la banane depuis 1972, ont été interdits en Martinique, et le scandale de la contamination qui affecte les sols pour des siècles a été révélé au public. En effet, celle-ci atteint toute la chaine alimentaire: des traces de chlordécone ont été retrouvées dans l’eau potable, les cultures maraichères sont soumises à des contrôles drastiques, en début d’année 2013, les pêcheurs se sont rebellés devant l’élargissement de la zone interdite à la pêche.
Depuis quelques annees que les produits phyto sont tres surveilles les agriculteurs sont obliges de s'initier a des pratiques raisonnees. Gros-Morne, Martinique 2 juillet 2013
Un champ de bananes en jachère
petits plans de bananes sains importés , replantés après la jachère pour éviter l'utilisation de produits pesticides
Une peitite herbe dénommée timour est plantée entre les rangsde bananiers pour éviter l'utilisation des pesticides
Sur une exploitation pratiquant l'agriculture raisonnée les champs sont laboures a la pelle au lieu du tracteur. Les alignements des bananiers sont marques au lieu d'etre creuses pour eviter l'erosion.
Piege a charancons qui depuis sept ans remplace le pesticide a base de chlordecone.
Cercosporiose, champignon porte par le vent qui attaque les feuilles des bananiers, contre lequel on utilise l'epandage aerien, point noir pour les planteurs car pour l'instant il n'y a pas de solution ecologique a ce probleme. La solution temporaire est de couper la feuille attaquee chaque mois pour sauver le regime.